Depuis son affiliation à la Galerie Durst en 2018, Laurent Karagueuzian a marqué le milieu artistique par ses expositions singulières et son approche unique de l’art abstrait. 

Après le succès retentissant de sa première exposition solo en 2021, la galerie est fière de présenter “Le jour où la pluie viendra”, un nouvel éclat dans le parcours de cet artiste prolifique. 

Cette exposition offre une rétrospective de l’évolution artistique de Karagueuzian, juxtaposant ses œuvres les plus récentes à celles de ses débuts. 

Cette mise en perspective permet aux visiteurs de traverser les différentes phases de sa créativité, de son inspiration initiale par le monde végétal à ses compositions non-figuratives actuelles. 

Laurent Karagueuzian puise son inspiration dans des souvenirs d’enfance et la musique, associant ses œuvres à des mélodies éclectiques qui influencent son processus créatif. 

Son style unique, où la musique et la nature se rencontrent, crée une harmonie visuelle captivante. 

Les amateurs d’art sont invités au vernissage le jeudi 30 mai de 18h à 21h30, où ils pourront rencontrer l’artiste et découvrir l’univers où les couleurs sont non seulement vues mais ressenties. 

“Le jour où la pluie viendra” promet d’être une expérience immersive où chaque œuvre est une fenêtre ouverte sur l’âme vibrante de son créateur.

Pour toute demande de presse, contactez Naïma Sfar, au 01 45 24 73 00 ou par email à naima.sfar@galeriedurst.com

Nous vous attendons nombreux à la Galerie Durst pour célébrer l’art de Laurent Karagueuzian et partager un moment de beauté et d’émotion. 

“LE JOUR OÙ LA PLUIE VIENDRA” PAR LAURENT KARAGUEUZIAN

LE JEUDI 30 MAI 2024 À PARTIR DE 18H

VERNISSAGE EN PRÉSENCE DE L’ARTISTE

À propos de Laurent Karagueuzian : Né en 1967, Laurent Karagueuzian s’est passionné très tôt pour l’art, en particulier le dessin. 

Titulaire d’un DEA d’arts plastiques obtenu en 1990, il a enseigné cette discipline avant de se consacrer entièrement à sa pratique artistique. 

Son travail évolue constamment, naviguant entre figuration initiale et abstraction, où le mouvement des feuilles et l’espace entre elles ont longtemps été son sujet de prédilection. 

Sa dernière série, “les papiers écorchés”, illustre cette transition vers une abstraction où le silence et l’air jouent un rôle central.